L’approche contemporaine de l’accompagnement en gérontologie ne peut faire l’économie d’une démarche réflexive – regards critiques et croisés – en vue de poser les jalons de ce qu’est – ou n’est pas – une pratique de qualité. Mais dans ce paysage, comment pourrions-nous faire évoluer notre réflexion sans mentionner toute l’humanité qui traverse nos liens et nos organisations ? “Accompagner” ne peut se limiter à bien faire ce qui doit être fait. Il y a, dans le travail réel, toute une part invisible non mentionnée dans la fiche de poste qui définit le travail prescrit : générosité, altruisme, engagement, délicatesse, humanitude. On peut “prendre soin” sans avoir à “faire des soins” et c’est bien tout cela qui va nourrir la relation soignant/soigné.
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