Les articles 3 et 4 de la loi Claeys-Leonetti instaurent le droit à la sédation profonde allant au-delà du risque de “double effet” inhérent à cette sédation. Le Dr Xavier Mattelaer est revenu pour nous sur ces 2 articles, reconnaissant cet outil de la pratique des soins palliatifs et mettant fin à une situation dont l’ambiguïté se résume dans l’article 38 du code de déontologie médicale.
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