Introduction
Les mouvements simples du quotidien : les saisies, les atteintes ou les frappes nécessitent un ajustement de variables cinématiques telle la vitesse ou l’accélération à des variables dynamiques comme la force ou le couple. Pour atteindre un point cible à partir d’un point initial, un nombre infini de schémas cinématiques est possible auquel un nombre infini de schémas dynamiques peut être associé. Pourtant, parmi tous ces plans, un seul est choisi et exécuté. Dans le système nerveux central, la planification dynamique est l’affaire de voies cortico-cérébelleuses, de l’olive et du noyau rouge que nous ne tarderons pas de reprendre [1]. La planification cinématique est quant à elle sous la direction des noyaux gris centraux (NGC), réalisateurs de génie d’un cinéma intérieur dont le mouvement est projeté au grand public [2] (Fig. 1).
Figure 1 – Les noyaux gris centraux (ganglions de la base et substance noire) et le thalamus.
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Pour accéder à l'article complet
Découvrez nos offres d'abonnement
Abonnez-vous à la revue et accédez à tous les contenus du site !
- Tous les contenus de la revue en illimité
- Les numéros papier sur l'année
- Les newsletters mensuelles
- Les archives numériques en ligne
ou
Achetez cet article
ou
Inscrivez-vous gratuitement sur Repères en Gériatrie.fr et bénéficiez de l'accès à de nombreuses catégories du site !
- Accès aux catégories d'articles exclusives
- Les newsletters mensuelles
- Votre historique de commandes en ligne