Le retrait d’un pacemaker après le décès d’un patient âgé est un geste courant en gériatrie. Cet acte banal tend toutefois à occulter les autres dispositifs médicaux implantables actifs (DMIA), dont le patient peut avoir oublié l’existence, et dont le médecin, faute de données, n’a pas forcément connaissance. Le risque est alors grand d’attester de l’absence de DMIA lors du constat de décès, avec les graves conséquences qui peuvent en découler en cas de crémation du corps du défunt. Les explosions de fours crématoires dues à un non-respect de la législation en matière de DMIA ne sont pas rares.
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