Au-delà de son coût économique, la iatrogénie médicamenteuse a surtout un coût pour nos patients. Risque inhérent à la pratique médicale et à la prise en charge polypathologique des patients gériatriques, le risque iatrogénique est pourtant souvent évitable. Outre les campagnes préventives existantes, il est également possible d’agir au cœur de la prise en charge, comme l’illustre le dispositif Yatro qui permet de faire une analyse des médicaments prescrits aux patients et de proposer d’éventuels aménagements.
Dans ce même objectif, depuis novembre 2020, le CEPRIM, le Centre d’évaluation et de prévention du risque iatrogène médicamenteux, a ouvert ses portes au CHU de Nîmes.
Ce centre accueille des patients “complexes” repérés comme à risque iatrogène médicamenteux, pour lesquels tous les facteurs de risque prédisposant à la iatrogénie médicamenteuse sont passés au crible.
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