En oncologie gériatrique, la mortalité peut concerner jusqu’à 38 % des patients à 3 mois, 50 % à 6 mois et 67 % à 12 mois. La dégradation du statut nutritionnel et de l’autonomie fonctionnelle sont deux facteurs majeurs du risque de décès tant précoce (dans les 3 premiers mois) que tardif (à 6 et 12 mois). C’est dire l’importance de les évaluer systématiquement, d’en documenter précisément la cinétique d’apparition et les mécanismes, pour envisager les modalités optimales de leur prise en charge et pouvoir prédire le bénéfice attendu, ou non, du traitement spécifique du cancer. Une meilleure appréciation pronostique permet aussi de mieux répondre au questionnement fréquent des patients et de leur entourage sur l’espérance de vie et d’anticiper le parcours de soins.
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