La thérapie antiplaquettaire est actuellement le traitement de choix pour prévenir les événements ischémiques récurrents chez les patients ayant des antécédents d’accident ischémique, de syndrome coronarien aigu (SCA) ou de maladie artérielle périphérique symptomatique. Alors que la plupart des guidelines recommandent une prise au long cours d’antiagrégants plaquettaires, constitués principalement de l’aspirine et du clopidogrel, il n’existe pourtant que peu de données sur le bénéfice à long terme et sur le risque d’une exposition prolongée à de tels traitements, notamment chez les sujets âgés. Qu’en est-il réellement ? La récente étude (juin 2017) de Li et collaborateurs nous permet d’y voir plus clair.
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