Le syndrome parkinsonien comprend un ensemble de signes fonctionnels et cliniques exprimant une dégénérescence du système dopaminergique nigrostriatal. Ce syndrome est retrouvé dans différentes pathologies dont la plus connue est la maladie de Parkinson. Les patients présentent un syndrome akinétorigide, un tremblement de repos, des troubles de la marche et parfois, mais plus rarement, des douleurs, une dysarthrie ou un syndrome dépressif [1]. Le diagnostic repose essentiellement sur un faisceau d’arguments cliniques aidés du test à la dopathérapie, du Dat-scan mettant en évidence une extinction asymétrique des voies dopaminergiques, et/ou de la scintigraphie cérébrale au deoxyfluoroglucose (DFG), qui pourront étayer le diagnostic en cas de présentation clinique atypique [2]. Les étiologies de ce syndrome sont nombreuses, le plus souvent d’origine dégénérative, voire inflammatoire. Elles ne concernent pas toujours exclusivement la voie dopaminergique. Nous rapportons dans cet article le cas d’un patient ayant présenté un syndrome extrapyramidal attribué initialement à la maladie de Parkinson, mais dont l’évolution clinique est inhabituelle.
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