L’appréciation de la qualité de vie prend d’abord son intérêt dans l’évaluation bénéfice/risque d’un traitement anticancéreux : dans le grand âge et surtout quand la guérison n’est pas possible, l’étude de l’impact du traitement doit se faire en termes de survie, mais aussi en termes de préservation des capacités fonctionnelles et de la qualité de vie.
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