Quel(s) candidat(s) pour prévenir ou ralentir la maladie ?
La maladie d’Alzheimer est un problème majeur de santé publique qui croît
avec le vieillissement de la population. Le peptide Aβ, issu du catabolisme de
la protéine précurseur APP, est l’agent principal des pertes synaptiques et des
altérations des fonctions cognitives observées dans cette maladie. Différents
facteurs, génétiques, vasculaires, métaboliques sont à la source de l’augmentation
intracérébrale des oligomères formés par ce peptide. Le contrôle de ces
facteurs favorisants apparaît critique pour endiguer la progression de la maladie
d’Alzheimer et des autres démences séniles. Les nutriments peuvent permettre
de contrôler ces portes d’entrées multiples dans ces pathologies en raison de la
multiplicité de leurs cibles et point d’impact dans l’organisme. Si de nombreuses
études expérimentales ont indiqué des potentialités pour un large éventail de
nutriments, la confrontation de leurs résultats aux données des études cliniques
et épidémiologiques met surtout en avant l’intérêt de l’acide docosahexaénoïque
et des polyphénols. Cependant de nombreux travaux restent nécessaires pour
établir des stratégies préventives sur la base de l’utilisation de ces composés.
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